Nombre de participants : 6 (groupe en émergence)
Contact professionnel :
à définir
Contact technique :
Denis LE HIR
06 45 54 75 64
denis.lehir@bretagne.chambagri.fr
Nombre de participants : 6 (groupe en émergence)
Contact professionnel :
à définir
Contact technique :
Denis LE HIR
06 45 54 75 64
denis.lehir@bretagne.chambagri.fr
Pourquoi les membres se retrouvent-ils en groupe, que recherchent-ils ?
Les cultures intermédiaires sont devenues un mode de gestion incontournable des inter-cultures dans le cadre de
l’obligation de couverture hivernale des sols en zone vulnérable. De nombreux travaux ont été menés pour acquérir
des références. Ils ont été essentiellement engagés dans des systèmes de production issus de grandes cultures
ou de polyculture-élevage. Les systèmes de cultures légumiers présentent des spécificités (destruction précoce
des couverts pour les cultures primeurs et inter-cultures de printemps) pour lesquelles les références acquises sont
inadaptées ou insuffisantes. Les producteurs légumiers qui constituent ce groupe souhaitent mieux valoriser les
cultures intermédiaires dans leurs exploitations et construire collectivement les références manquantes.
Quelles ont été les actions concrètement mises en œuvre ?
Groupe en émergence (GIEE Emergence 2020).
• Evolution des pratiques individuelles enrichies et stimulées par la réflexion collective et les échanges de pratiques.
• Amélioration du retour sur l’investissement que représente l’implantation des cultures intermédiaires en valorisant
leurs services écosystémiques : piégeage de l’azote disponible, remise à disposition de la culture suivante ou
stockage dans le sol, fixation symbiotique d’azote, amélioration de la structure des sols, participation à la réduction
de la pression des adventices, maladies et ravageurs… Ces services écosystémiques pourront, à courts termes,
permettre de réduire les besoins en intrants.
• Réduction des coûts et des temps de travaux générés par l’implantation et la destruction des cultures
intermédiaires par un ajustement du choix des couverts et des outils utilisés, une simplification des itinéraires
techniques voire l’autoproduction de la semence.